شكرا لاختنا ابنة النور على كلماتها الرقيقة
قصيدة جديدة اتكلم فيها عن ضيف وزائر ليس ككل الضيوف..
مااحنا حبينا.....ارتحنا وانسينا
le visiteur
Ma fenêtre était fermée et ma porte aussi
je n'étais pas sortis depuis des jours
et comme le vent comme l'eau
comme le sable comme la poussière
l'amour est là devant moi.
-attendez monsieur attendez un peu
j'ai mes psaumes j'ai mes prières
j'ai mes talismans qui vous feront peur
ma cuirasse est à l'épreuve de vos flèches d'éros
à nous deux ô vous qui déflorez mes barrières.
-Mais attendez monsieur attendez
je connais la fraîcheur charnelle de vos illusions
je sais la tiédeur délicate de vos desseins
je sais la rêverie qui pousse à courtiser la marguerite
je sais le baiser prés de la fontaine de jouvence
je sais le bonheur blessé prés du mur dérisoire
le bonheur au goût de larmes égarées
je sais l'aveu spontané et immédiat
qui vient des étoiles et du coquillage nacré
et la chanson qui reste à jamais dans la mémoire
je sais le coup du regard fulgurant
je sais l'étreinte quand vient la nuit
je sais l'amour graveur des coeurs
dans ses jeux infinis
je sais
le sentiment invulnérable immortel qui unit.
-Attendez monsieur attendez
je glisse ma main dans la votre
à votre invitation forcée et osée
je m'incline
emportez-moi dans vos chants lyriques
vers ses soleils magiques
vers ses océans inconnus
vers ses peintures chorégraphiques
o vous si insensible à mes choses prophylactiques
o vous qui ressuscitez ô vous qui faites peur
o vous qui métamorphosez [/align
lz juillet 2008]
Ma fenêtre était fermée et ma porte aussi
je n'étais pas sortis depuis des jours
et comme le vent comme l'eau
comme le sable comme la poussière
l'amour est là devant moi.
-attendez monsieur attendez un peu
j'ai mes psaumes j'ai mes prières
j'ai mes talismans qui vous feront peur
ma cuirasse est à l'épreuve de vos flèches d'éros
à nous deux ô vous qui déflorez mes barrières.
-Mais attendez monsieur attendez
je connais la fraîcheur charnelle de vos illusions
je sais la tiédeur délicate de vos desseins
je sais la rêverie qui pousse à courtiser la marguerite
je sais le baiser prés de la fontaine de jouvence
je sais le bonheur blessé prés du mur dérisoire
le bonheur au goût de larmes égarées
je sais l'aveu spontané et immédiat
qui vient des étoiles et du coquillage nacré
et la chanson qui reste à jamais dans la mémoire
je sais le coup du regard fulgurant
je sais l'étreinte quand vient la nuit
je sais l'amour graveur des coeurs
dans ses jeux infinis
je sais
le sentiment invulnérable immortel qui unit.
-Attendez monsieur attendez
je glisse ma main dans la votre
à votre invitation forcée et osée
je m'incline
emportez-moi dans vos chants lyriques
vers ses soleils magiques
vers ses océans inconnus
vers ses peintures chorégraphiques
o vous si insensible à mes choses prophylactiques
o vous qui ressuscitez ô vous qui faites peur
o vous qui métamorphosez [/align
lz juillet 2008]